Le bien-être des bovins est influencé par différents facteurs, tels que la température, l’humidité, les installations dans lesquelles les bovins sont élevés, l’alimentation et même les médicaments appliqués dans chaque cas, et comment savoir si l’influence est positive ou négative ?
Tout simplement en analysant le comportement des animaux dans chaque cas.
C’est ce que cite l’étude « Behaviour of Holstein cows kept in a free stall system, in winter, in an arid zone, Mexico » publiée par Vitela, I., entre autres auteurs en 2005.
Dans ce cas, le comportement des vaches laitières a été évalué et il a été conclu que les vaches passent une grande partie de leur temps à se gratter les unes les autres, ce qui constitue l’une des cinq interactions les plus courantes entre elles, et que dans ces installations, elles se grattent les unes contre les autres.
Mais les moutons ne sont pas les seuls à passer du temps à se gratter. Comme l’analyse l’étude de Fernández Beltrán, Hypersensibilité aux piqûres d’insectes chez les chevaux, publiée par l’Université de Saragosse, les chevaux présentent fréquemment divers tableaux cliniques associés à un ou plusieurs types d’hypersensibilité.
Parmi celles-ci, la plus courante est causée par la piqûre ou la morsure d’insectes, qui est le déclencheur d’une maladie consistant en une altération de l’équilibre immunitaire des animaux, et qui est causée par des composants allergènes contenus dans la glande salivaire de ces insectes.
Cette maladie est provoquée par des composants allergènes contenus dans la glande salivaire de ces insectes.
La maladie se caractérise par des démangeaisons et des affections cutanées dues au grattage.
Il s’agit d’une maladie saisonnière (printemps-été). Un large éventail d’options thérapeutiques est proposé, mais avec des résultats variables. Dix-sept enquêtes menées dans la région de Séville auprès de propriétaires de chevaux présentant une hypersensibilité aux insectes cliniquement diagnostiquée ont conclu que les chevaux vivant dans des écuries étaient plus susceptibles de présenter des lésions à la queue et moins susceptibles d’avoir une hypopigmentation que les chevaux vivant dans des champs et/ou des paddocks.
L’incidence plus élevée des lésions de la queue chez les animaux vivant dans des écuries peut être due au fait que ces animaux sont plus susceptibles de se gratter contre des objets et/ou des murs et de s’automutiler.
C’est sur la base de ces études que, chez Sacema Brushes, nous avons adapté notre totem Animal Comfort aux chevaux également, avec différentes hauteurs et épaisseurs du filament de la brosse qui forme notre grattoir pour bétail et qui est dermatologiquement adapté à chaque besoin spécifique, garantissant ainsi le bien-être du bétail.
BIBLIOGRAPHIE
Fernández Beltrán, M., Fernández Casasnovas, A., & Marteles Aragüés, D. Hypersensibilité aux piqûres d’insectes chez les chevaux : une étude d’enquête auprès des propriétaires. Université de Saragosse, Faculté de médecine vétérinaire, 2016. Département de pathologie animale, domaine de la médecine et de la chirurgie animales.
Vitela, I., Cruz-Vázquez, C. et Solano, J. (2005). Behaviour of Holstein cows kept in a free stall system, in winter, in an arid zone, Mexico (Comportement des vaches Holstein élevées dans un système de stabulation libre, en hiver, dans une zone aride, au Mexique). Archives of Veterinary Medicine, 37(1), 23-27.
